Selon les recensements, en 1866 - 1881 Jules vivait avec ses parents dans cette maison, puis en 1886 - 1891 avec sa mère Henriette et en 1896 - 1901 seul avec ses deux domestiques, en effet il resta célibataire.
En 1866 il y avait deux domestiques, une cuisinière nommée Mignaton Marie et une femme de chambre Pironom ? Philomène.
En 1881 les domestiques étaient Philomène Marie et Treteau Marguerite, en 1886 Voisin Madeleine, en 1891 Philomène Anne et Vergnaud Jeannette.
En 1896 le Docteur avait deux domestiques : Philomène Anne et Cassier Françoise et en 1901 Philomène Marie et Cassier Marie.



Sa fortune lui permit un certain désintéressement c’est pourquoi il se consacra presque entièrement à la médecine des pauvres.

Il est difficile de se faire une idée exacte de son activité professionnelle et hospitalière, la recherche des documents se heurtant à la barrière des 150 ans, néanmoins on peut penser que son art dut s’exercer en partie auprès des troupes en garnison à Guéret (maladies infectieuses : syphilis, tuberculose dont la cause ne fut trouvée qu’à la fin du 19ème, variole malgré le début de la vaccination, choléra, traumatismes divers…)

Parmi ses activités professionnelles on peut noter sa nomination au Conseil d’hygiène publique et de salubrité pour l’arrondissement de Guéret le 12 février 1881, en remplacement du Docteur Cressant démissionnaire. (Le Docteur Léonard Cressant né en 1793 est décédé en 1876. On peut supposer qu’il avait démissionné peu de temps avant sa mort et qu’il n’a été remplacé que 5 ans après).



Il fit partie de nombreuses associations, ainsi le 18 juillet 1896 il est élu à la Société des Sciences Naturelles et Archéologiques de la Creuse.

Il fit partie des souscripteurs (pour 20 Francs) du "Monument Henry", souscription ouverte en 1898 dans le journal antisémite et anti-dreyfusard de Drumont La Libre Parole.