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Le poilu (51)

Par Sylvie DUSSOT, vendredi 7 janvier 2011 à 07:30

Antoine nous décrit les conditions de vie dans les tranchées au milieu des rats...

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Souvenirs d'exode (suite et fin)

Par Etienne LEROY, mercredi 29 décembre 2010 à 08:09

Après le repli en zone sud dans une ferme charentaise, voici la suite de mon récit ...

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Le poilu (50)

Par Sylvie DUSSOT, mercredi 22 décembre 2010 à 08:13

Antoine est toujours au front, le courrier a l'air de mettre du temps à arriver que ce soit sur le front ou à Guéret...

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Souvenirs d'exode

Par Etienne LEROY, mercredi 15 décembre 2010 à 08:07

En lisant les récits de † Jean-Claude Montmartin , j'ai eu envie de partager mes souvenirs de cette époque, souvenirs de l'exode en pleine guerre... même si nos pas ne nous ont pas amenés vers Guéret, notre errance nous mena vers les Charentes...

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Le poilu (49)

Par Sylvie DUSSOT, jeudi 4 novembre 2010 à 07:32

Les cartes d'Antoine sont rares, et celle-ci s'adresse à son fils Marcel avec des recommandations...

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La bibliothèque du Docteur de Lavillatte

Par Jacques Boyer, jeudi 28 octobre 2010 à 07:33

En 2009, une vente publique de livres anciens a lieu à Montignac Lascaux (Dordogne). Parmi les ouvrages exposés plusieurs sont marqués au nom de Dissandes de Lavillatte .

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La palanche d'Antoine

Par Christian Riboulet, jeudi 21 octobre 2010 à 10:46

Dans la dernière lettre d'Antoine , il nous parle qu'il emmène la soupe avec une palanche, voici une photo et un petit texte pour illustrer les propos d'Antoine.

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Le poilu (48)

Par Sylvie DUSSOT, vendredi 17 septembre 2010 à 08:32

Antoine est dans les tranchées tout en continuant de faire la cuisine, il a froid dans les tranchées... Si quelqu'un peut me donner la définition d'une palache voire une photo...

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Bombardement de Guéret le 19 juin 1940

Par † Jean-Claude Montmartin, vendredi 10 septembre 2010 à 08:11

La drôle de guerre suivait rapidement son cours. Nous savions que les allemands avaient une armée puissante et rapide, et employaient de nouvelles tactiques telles que les parachutistes qui franchissaient la ligne Maginot en avions, pour surprendre l'arrière de l'Armée Française. Le peuple fuyait, craignant un ennemi qui n'hésitait pas à mitrailler et bombarder des fuyards, civils et militaires, à l'exemple de la Pologne, où les gradés et soldats furent passés par les armes, ainsi que bon nombre d'habitants innocents.

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Le poilu (47)

Par Sylvie DUSSOT, vendredi 3 septembre 2010 à 09:34

Antoine attend le moment de retourner dans les tranchées, il continue à faire le cuisinier...

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